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DSTI à Sophia : les 10 ans d’une école d’ingénieur en data atypique

DSTI à Sophia : les 10 ans d’une école d’ingénieur en data atypique

Le Data ScienceTech Institute (DSTI) a fêté son 10ème anniversaire sur son campus de Sophia Antipolis. L’occasion de réunir sa communauté, de rappeler son parcours sur ses trois campus (Sophia, Paris et le monde) et d’annoncer son nouveau challenge à l’international.

Paré pour l’ère de l’IA et les défis de la cybersécurité ! Le Data ScienceTech Institute (DSTI) fondé en 2015 par José Massol et pour accompagner la 4ème révolution industrielle, a ouvert des formations d’ingénieurs sur ces thèmes et sur le traitement de la data en général, avant qu’ils ne deviennent vitaux pour l’économie. Ecole privée atypique, elle se présente comme une “école d’application pour diplômés de l’enseignement supérieur français et des universités internationales” et a su jouer de ses trois campus (Sophia, Paris et le monde) pour assurer une belle montée en puissance. C’est ce parcours et les nouveaux challenges en cours qu’elle a présentés jeudi dernier à sa communauté qu’elle avait réunie sur son campus des Templiers pour fêter son dixième anniversaire. (Photo WTM : à gauche, Sébastien Corniglion, directeur général et José Massol, président de DSTI).

“Nous avons choisi de lancer l’école sur trois campus à la fois”, rappelle José Massol : “Sophia Antipolis pour la réputation de son écosystème du numérique, Paris, pour la présence de grandes entreprises et l’international avec la totalité des cours diffusés en ligne. J’ajoute que dès le départ, tous les cours étaient donnés en anglais, ce qui permettait d’assurer une diffusion internationale, avec des professeurs de haut niveau répartis pour moitié à Sophia Antipolis et à Paris”.

Les thèmes traités ? Ils ont suivi la formidable évolution du monde numérique et les besoins des entreprises en nouveaux métiers très pointus. “Au début, les deux thèmes majeurs étaient le Big Data et la Data Science. Mais sont venus s’ajouter l’Intelligence Artificielle, le Cloud Computing et Cybersécurité,” poursuit José Massol. L’école a mis aussi en place au fil des ans de nouveaux formats : présentiel, distanciel, hybride, temps plein ou partiel, pour s’adapter à tous les profils (étudiants, professionnels en reconversion, formation continue).

Pour offrir des stages, des immersions internationales et des certifications professionnelles reconnues aux étudiants, des partenariats industriels ont été engagés. Ils ont été noués à l’international avec des géants comme AWS, Microsoft. Mais aussi sur le territoire avec Amadeus, SAP, Thales Alenia Space, Hivenet… Pour l’enseignement, DSTI s’est aussi appuyé sur des partenaires de pointe nationaux comme Arts et Métiers ou locaux comme Ampère, Inria, Laboratoire de Mathématiques appliquées de Nice...

Le nombre d’étudiants est monté progressivement avec une accélération récente. Porté notamment par la vague de l’IA, il a doublé ces deux dernières années. DSTI compte aujourd’hui un peu plus de 300 étudiants tandis qu'un nouveau doublement est prévu pour les deux prochaines années. Avec trois quarts de ses étudiants qui viennent de l’étranger (Europe, Inde, AFN, Afrique et reste du monde) l’école veut accélérer tout particulièrement l’international. Elle cherche pour celà à multiplier les accords avec des lycées, écoles et universités de différents pays pour leur apporter ce volet d’enseignement très technique. Un nouveau challenge dans lequel elle peut faire valoir les résultats obtenus en termes d’insertion professionnelle, mais également la notoriété de Sophia Antipolis, nouveau bastion européen de l’IA. 

 

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